Bistu Ryx et Mathias Will 2025, dans le « Wiederraum »
« L’hologénome, rituels et rencontres biologiques ». Nous faisons référence à une théorie de la microbiologiste Lynn Margulis qui, entre autres découvertes, a constaté que les couches supérieures de la Terre sont habitées par des micro-organismes peu connus, qui échangent constamment entre eux et maintiennent un équilibre chimique dont dépend toute vie. On pourrait donc dire que la Terre elle-même est un organisme – cette découverte a conduit à l’« hypothèse Gaïa », qu’elle a développée et popularisée avec James Lovelock. Une autre découverte importante concerne la thèse selon laquelle les êtres vivants n’évoluent pas uniquement dans un cadre darwinien, de sorte que ce n’est pas seulement la « survie du plus apte » qui s’applique, mais que la vie progresse également grâce à des relations de coopération. On pourrait dire qu’une évolution vécue par un organisme en même temps donne une impulsion à d’autres êtres pour qu’ils évoluent à leur tour.
Depuis 2004 Performance de la personnage « The white man » (L’homme blanc).
2024 l’homme blanc, peignait Hambourg-Kitsch, sous une pluie battante :
2023 Performance: « Some poetry, too litle, too late » Hafencity Hamburg, Architektursommer
2018 Performance à la galerie d’art « Schwalbe 54 », Frankfurt/ Main pour l’exposition:
« Tropical issues »
2016: Kunsthaus Hamburg, Exposition BBK
« Danke, wir brauchen nichts! (« Merci, on a besoin de rien »)
Performance/ Installation: « The last of his kind » (le dernier de son genre) Festival MEM Bilbao
Performance/ Installation: The white cube: Dann mache ich sicherlich etwas verkehrt » Fabrik der Künste, Hamburg